Comment sera le manager du futur ?

Andrés Esteban Marín-Marín
Por Andrés Esteban Marín-Marín 3 lectura mínima

La pandémie générée par le Covid-19 a accéléré divers processus de numérisation et de virtualisation au sein des organisations, tels que la gestion de l’information, de la connaissance et des ressources humaines, entre autres défis auxquels devront faire face, à l’avenir, les managers non seulement des grandes corporations, mais aussi des moyennes et petites entreprises.

Le manager du futur devra comprendre les émotions qui se déroulent sur les multiples écrans, médias, canaux et plateformes, et aura donc besoin de compétences communicationnelles allant de l’analyse de données à l’expérience utilisateur et au marketing digital, dans le but de reconnaître ses publics (clients) et leurs besoins réels.

Ces compétences devront être liées aux environnements virtuels et aux changements technologiques, conduisant à une adaptation aux transformations sociales, culturelles, politiques et économiques. Il ne s’agit pas simplement de s’asseoir sur une chaise et de donner des ordres, mais de faire et d’expérimenter aux côtés de l’équipe de travail.

Ainsi, la connaissance tacite est fondamentale pour agréger des expériences, qui pourraient être codifiées en impliquant chaque membre de l’organisation, dans le but de le faire de la meilleure manière possible.

Humaniser, c’est créer la confiance

Nous sommes médiés par des machines et les connaître fait partie de cette nécessité pour la gestion. Lorsqu’on dit qu’il faut les connaître, il ne s’agit pas seulement de leurs parties physiques, mais aussi de leur fonctionnement, c’est-à-dire que leur utilisation, leur accès et leur appropriation doivent servir à identifier les facteurs impliqués dans les environnements sociaux propres à l’organisation. Ainsi, cela renforce et humanise les procédures corporatives.

Par conséquent, avec l’intelligence artificielle (IA), les compétences en gestion d’entreprise doivent être centrées sur les ressources humaines et les publics. Autrement dit, sur les personnes.

Les interactions doivent être priorisées et intégrées aux outils de cloud computing, de cybersécurité et d’intelligence artificielle, se traduisant par une exploitation de l’espace et du temps et permettant d’offrir une qualité de vie à ses clients internes et externes : on pourrait affirmer que la confiance serait cette valeur prédominante.

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Periodista, especialista en Gerencia de la Comunicación con Sistemas de Información, magíster en Comunicación, maestrando en Ciencia, Tecnología y Sociedad de la Universidad Nacional de Quilmes (Argentina), exárbitro de fútbol, Líder Catalizador de la Innovación y profe universitario.
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